« Entre 1997 et 2000, la République du Congo, mon pays, a connu des turpitudes qui l’ont endeuillée et délabrée. De nombreux congolais et congolaises ont migré de Brazzaville à Dolisie en débouchant à Pointe-Noire, havre de paix. Au lendemain de cette période, je me suis donné le noble et lourd fardeau de redécouvrir nos principales villes. Par conséquent, ce sont des vestiges qui m’y ont accueilli. Ceux-ci parlent et témoignent pour qui sait analyser et interpréter leur langage. Cela m’a permis de faire un comeback, un retour sur moi-même et sur la vie de mes concitoyens et compatriotes, en partant des gouvernants jusqu’à la populace ».